SAVIEZ-VOUS QUE DLMED (DIS-LE-MOI EN DANSANT) EST UN ATELIER FAIT MAISON ?



Nous savons tous danser !

Même les personnes qui affirment ne pas savoir danser, savent danser à partir du moment où nous considérons la danse comme une forme d’expression corporelle. Simplement, certaines personnes suivent le rythme, d’autres pas. Même ces dernières ont leur propre rythme.

Par ailleurs, certaines danses sont codées et nécessitent un apprentissage. Dans ce cas, savent danser, ceux qui ont appris à le faire.

A cela s’ajoute le fait d’aimer ou pas qui favorisera la répétition et donc l’entraînement. Par la force des choses, chez les jeunes et les adultes désinhibés, je dirai que l’appétit vient en dansant. Et au final, plus on danse, mieux on le fait ! Alors, on…

Ce qui est génial chez le jeune enfant, c’est sa capacité à utiliser toutes ses capacités motrices pour danser instinctivement. Si en plus il est guidé et encouragé dans le processus, ces moments d’échanges peuvent être de véritables parties de plaisir à la maison sans frais financier.

Dans notre petite famille, danser fait partie d’une de nos activités et nous dansons sur absolument tous les rythmes. Aucune notion de performance, juste pour le plaisir d’être avec soi, avec les autres et  de se montrer ce que l’on sait faire, ce que l’on ne parvient pas à faire ou les progrès réalisés depuis la dernière séance. Le rire, le jeu, le défoulement, l’imagination, sont souvent au rendez-vous.

C’est en dansant à la maison avec nos propres enfants que l’idée m’est venue de leur apprendre une danse traditionnelle camerounaise appelée Ben S’kin. La particularité de cette danse est qu’elle permet d’exprimer tout un panel d’émotions et de sentiments. Elle est d’autant plus intéressante que les deux pas de base sont relativement simples d’exécution. Chacun peut ainsi se les approprier avec son style propre. Il n’y a donc pas de mauvais ou de bons danseurs. Chacun exprime avec son corps ce qu’il a à dire.

L’idée m’est venue de proposer ce concept en dehors du cercle familial.

 
Il m’a fallu dès lors théoriser cette danse pour la rendre accessible et  transmissible. J’ai ensuite créé une variété de tableaux que j’adapte en fonction de l’âge des enfants (à partir de 3 ans). Tout ceci en trouvant un équilibre pour que l’activité soit intéressante aussi bien pour l’enfant que pour le parent.

Pour le lancement de l’atelier, l’artiste camerounais le plus traditionnel que je connaisse est venu : le Prince Patrice de Lausanne. 

Voici un aperçu de l’atelier en sa présence avec derrière la caméra la conteuse Françoise Bonny. Je vous remercie tous infiniment. Grâce à vous, la belle idée est devenue une réalité. Voici un extrait du premier :



 
A en croire les réactions des uns et des autres, cela plût aux petits comme aux grands !
Depuis ce lancement, on renouvelle cela tous les mois à Ornex. Merci à la mairie !


 
Ma rencontre avec une femme enthousiaste et ouverte aux nouvelles idées a donné lieu à la version famille de cet atelier qui est aujourd’hui proposée à tous les adhérents de la MJC de Gex :





 
Vous savez maintenant comment est né mon atelier DLMED. Ma collaboration avec la MJC de Gex étant réussie, j’aimerais mettre en place d’autres partenariats avec les structures qui le souhaitent.

Suite à l’intérêt de plusieurs institutrices, une version adaptée aux enfants des écoles maternelles et primaires est en train de s’organiser pour la rentrée de janvier 2012.

Que ce soit à travers mon atelier ou quelqu’autre activité, prendre un moment avec chacun de nos enfants et ce de façon régulière est une habitude qui transformera la dynamique de votre relation avec chacun d’eux mais également entre eux. Chacun de vos enfants s’en trouvera alors valorisé, important & unique… Et ils ne se sentiront plus obligés de se chamailler sans cesse pour attirer votre attention !

Cela vous demandera de prendre le temps, mais c’est un temps très intelligemment investi ! Tout est question de priorité ! Dans quelques années, ce sera déjà trop tard…

Il ne s’agit parfois que de jouer à la maîtresse avec votre petite dernière ou faire une ballade à vélo avec votre garçon… C’est vous qu’ils recherchent, pas le tarif de l’activité.

Profitez des fêtes de fin d'année pour recharger les batteries en famille !
Très belles fêtes à tous et à l'année prochaine !

Mj

SAVIEZ-VOUS QUE LE SOMMEIL… ?


(Quatrième partie)

Nous en sommes déjà à la quatrième partie, et je n’aurais pas parlé :

- Des conséquences néfastes liées à la méconnaissance des rythmes du sommeil du nourrisson.
- De tous les noms et explications donnés aux pleurs de fin de journée des bébés.
- De la désillusion de certains parents face au bébé réel qui pleure et ne dort pas par opposition à celui des magazines qui dort paisiblement au lieu de suffoquer de pleurs !
- De l’enfant, devenu roi, qui se couche de plus en plus tard et se réveille quand même deux à trois fois par nuit.
- De la mort subite du nourrisson
- Du « Co sleeping »
- De la tétine

Chacun de ces sujets pourrait et devrait faire l’objet d’un article.

En ce qui concerne les pratiques d’endormissement, chaque famille en fonction de sa ou ses cultures a des techniques qui lui sont propres. J’aimerais attirer votre attention sur deux de ces pratiques qui, selon moi, posent problème : la tétine et le portage.

Pour satisfaire un soi disant besoin de succion (besoin réel chez très peu de bébés), tellement de parents proposent une tétine à leurs bébés. Cet objet est devenu un phénomène de mode. Je n’aborde pas ici la tétine déco, tétine  tais-toi pour ne pas dire ferme-là ! Tétine patiente, encore moins les conséquences néfastes de son utilisation intempestive sur la santé et le langage de nos enfants. Tétine dont il faudra au bout du compte pour certains enfants rivaliser d’ingéniosité pour les pousser à s’en débarrasser !

Vous êtes libres de faire ce que vous voulez avec vos enfants, simplement, sachez que proposer ce type d’objet au moment de dormir à vos bébés pour ceux qui l’acceptent, conduit inexorablement du côté de l’enfant à une association entre tétine et sommeil. Cette association créera des problèmes inutiles telles que : se réveillant sans sa tétine alors qu’il s’était endormi avec, Coco, notre bébé fictif, se manifestera quand il réalisera que la tétine en question n’est plus dans sa bouche alors qu’il se souvient s’être endormi avec. Quoi de plus normal ! Ce qui ne sera pas le cas de son copain qui aura appris à s’endormir sans. A quoi bon créer un problème là où il n’y en a pas ? Ne vous inquiétez pas… vous trouverez de quoi vous occuper sans celui-là…

Pour ce qui est du portage, j’ai été moi-même portée, Dieu seul sait s’il a contribué à faire de moi la femme paisible que je suis. Enfin, c’est moi qui le dis. 

Est-il utile de rappeler au risque de briser quelque mythe qu’à l’origine,  le portage était davantage un mode pratique de transport du bébé ? Sans maxi cosi, nacelle ou transat, il faut bien trouver un moyen de transporter son bébé. Le bébé n’est donc pas porté au départ pour l’aider à dormir, empêcher ses pleurs ou prolonger un quelconque lien parent/enfant après la naissance. Après son repas, bébé est porté en position assise, ce qui permet à la mère de vaquer à ses multiples occupations en faisant participer ce dernier qui finit par s’endormir si les occupations s’éternisent. 

Mais ne vous y trompez pas, avec un maxi cosi, une poussette et un lit parc, le dos  des mères africaines serait moins mis à contribution.

L’association portage sommeil me semble problématique dans la mesure où si nous l’utilisons comme mode systématique d’endormissement et que Coco l’intègre comme tel, que se passe t-il lorsque Coco fait son entrée à la crèche qui ne pratique pas le portage ? 

Donc, excellent le portage, mais pas comme mode d’endormissement pour un bébé à qui vous voulez apprendre à s’endormir tout seul.

J’entends souvent dire qu’il n’existe pas de solution miracle !

J’affirme le contraire ! Mais pas au sens spectaculaire du terme. L’enfant étant un être en développement, je ne vous apprends rien en disant que l’acquisition d’un certain nombre de compétences se fait lentement mais sûrement.  Il en est de même du sommeil, certains pré-requis sont nécessaires. Par exemple, Coco ne fait pas ses nuits en sortant de la maternité. Il prolonge progressivement ses siestes avant de parvenir à dormir toute la nuit.

Ma solution miracle se trouve dans la routine !

Les connaissances scientifiques actuelles, mon expérience personnelle ainsi que celle de milliers de parents permettent d’affirmer qu’une routine adaptée à l’enfant, permet aux parents comme à l’enfant de bien dormir. 

En général, un bébé qui dort bien (quantitativement et qualitativement), a tendance a bien téter (ce qui ne veut pas nécessairement dire beaucoup), bien jouer ou profiter de son temps d’éveil, à être très vif, alerte, curieux, attentif… mieux se comporter. Ce qui contribue à l’équilibre familial. 

La singularité de chaque enfant impliquera heureusement une différence de perception de votre routine, mais celle-ci est incontournable pour aider votre bébé à faire rapidement ses nuits. Cette routine n’est donc pas le fruit du hasard ou d’une quelconque chance. Bien au contraire, le mot n’est pas très joli mais c’est du conditionnement purement et simplement.

Souvenez-vous que votre bébé perçoit tout ce que vous faites et s’adapte. Il anticipe tout ce que vous mettez en place de manière répétée. Lorsque votre rituel est adapté, il prend plaisir à anticiper sa journée et gagne en confiance et en sécurité lorsque ses pronostics se confirment.  D’où tout l’intérêt des rituels pour nos bébés dès le départ. Oui, dès la maternité ou l’arrivée à la maison.

Ma conviction sur le sujet est tout d’abord qu’il s’agit d’une question de stratégie. Quelques connaissances, règles et attitudes sont donc nécessaires pour que la mise en place se fasse le plus harmonieusement possible pour l’ensemble de la famille.

Saviez-vous qu’en l’absence de toute pathologie, votre bébé de 5kg (certains disent 100 jours) est capable de faire ses nuits ? Il a assez de réserves pour cela.

Tout d’abord, une maman lasse et épuisée ne peut répondre efficacement aux besoins de son bébé et à ceux de qui que ce soit d’autre d’ailleurs. La première chose à faire est donc de vous REPOSER ! Saisissez toutes les occasions pour le faire.
 J’insiste lourdement, mais une bonne routine vous permet de savoir sur quels moments compter pour vous reposer, à quel moment confier votre bébé, quelles consignes laisser le concernant en votre absence. Votre bébé peut ainsi conserver votre cadre, même en votre absence et avoir confiance que sa routine sera respectée et ses besoins assouvis quelque soit la personne qui s’occupe de lui. Contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, ces bébés se révèlent plus flexibles que d’autres !

Les attentes que vous avez ou pas à l’égard de votre bébé influenceront ce que vous allez faire avec lui. Il convient donc d’y réfléchir avant son arrivée. 

La routine que je vous propose permet de répondre aux besoins de votre bébé en le rendant prévisible. Cette routine intègre les trois activités de base de votre bébé, ses repas, son temps d’éveil et son sommeil.

L’autre avantage de cette routine réside dans les multiples bénéfices liés à une bonne nuit de sommeil (satisfaction du bébé, croissance,  vivacité, repos, sécurisé par l’amour de ses parents, sécurité pour les parents qui savent à quoi s’attendre), que certains jeunes parents guettent comme un véritable Eldorado !

Je vais vous permettre d’économiser les 50 euros que vous pourriez me donner tous les mois pour vous accompagner dans la mise en place de votre routine. Vous n’aurez pas la précision du suivi personnalisé mais à votre avantage la connaissance que vous avez de votre nourrisson.

Nous rentrerons dans les détails de cette routine non pas dans mon prochain article qui sera consacré à mes ateliers de danse, mais dans celui d’après.

Vous savez maintenant que l’irrégularité des heures de coucher chez le bébé a sur l’endormissement des effets fortement négatifs.

Vous savez que toutes les réponses inappropriées de parents au sommeil de l’enfant peuvent générer des troubles du sommeil.

Vous savez que dormir s’apprend aussi et que ce n’est pas parce que l’on croit faire les bons choix avec notre bébé que… c’est nécessairement les bons choix ! 

Que votre bébé n’est pas capable d’analyser ce que vous faites, mais perçoit dans les moindres détails ce que vous faites avec lui. Il procède ensuite par associations et analogie comme nous le verrons plus tard.

Mj
Consultante parentale

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http://www.youtube.com/watch?v=yVN9fJ40bMA
http://www.mjcgex.fr/?Venez-danser-en-famille

SAVIEZ-VOUS QUE LE SOMMEIL… ?


(Troisième partie)

Avant d’aborder le sommeil des 6-10 ans, celui des adolescents  et la revue d’autres articles et liens intéressants sur le sujet, je tiens à vous remercier de prendre le temps de me lire. A en croire le nombre de pages vues, largement plus de 2000, je suis encouragée dans la rédaction de mes articles qui, exige du temps. 

Si vous aimez la remise en question, la réflexion, préserver votre bon sens, vous efforcer d’être, plutôt que faire comme le plus grand nombre, vous êtes à la bonne adresse.
Mais revenons au sujet qui nous intéresse…

« Le sommeil des 6- 10 ans

Entre 6 et 10 ans, le sommeil nocturne est de très bonne qualité, très riche en sommeil lent profond dans la première partie de la nuit, ce qui va favoriser la survenue de certains comportements anormaux au cours du sommeil : terreurs nocturnes, somnambulisme et énurésie, pathologies fréquentes et peu inquiétantes à ces âges. Le sommeil est très stable, les éveils nocturnes sont très brefs. Ces préadolescents sont normalement très vigilants dans la journée et se réveillent généralement tôt, un coucher tardif, dans cette tranche d’âge, entraînera donc une privation de sommeil puisque celui-ci ne sera généralement pas rattrapé par un éveil plus tardif ou par une sieste.

Entre 6 et 10 ans, la diminution du temps de sommeil est liée à un retard de l’heure du coucher de 15 à 30 minutes par an. L’heure du coucher va passer progressivement d’un horaire moyen de 20 h 30 à 21 h 30, alors que l’heure du lever reste fixe en raison des impératifs scolaires.

Le sommeil de l’adolescent

La tendance des adolescents à se coucher tard est aussi biologique. Probablement liée aux transformations hormonales de la puberté. Au cours de cette période, le sommeil est plus léger en début de nuit et les endormissements plus difficiles. Il s’ensuit souvent en période scolaire une réduction importante du sommeil nocturne, réduction qui atteint presque 2 heures entre 12 et 18 ans ; alors que les besoins physiologiques réels de sommeil sont plus importants au cours de cette période. Il existe très souvent chez l’adolescent un déficit chronique en sommeil. Pour rattraper ce retard, il allonge ses matinées de sommeil au cours des week-ends et des vacances. Les horaires de sommeil deviennent irréguliers... » (Challamel, 2005)

En ce qui concerne les liens et autres articles sur le sujet, vous trouverez à la fin de cette publication un lien disponible en ligne sur le dossier sommeil élaboré par les Docteures Françoise Delormas et Elisabeth Locard, avec la contribution de plusieurs spécialistes. Ce dossier très intéressant de mon point de vue, aborde non seulement l’aspect fonctionnel du sommeil, mais également les troubles liés à celui-ci ; ainsi que l’aspect éducatif. Je ne peux que vivement suggérer la lecture de ce dossier aux parents, enseignants ainsi qu’aux responsables de l’organisation de la vie scolaire. En effet, tenir compte des moments de grande vigilance dans la mise en place des activités intellectuelles nouvelles permettrait de gagner en efficacité.

Nous l’avons compris, quelque soit notre âge, bien dormir, est fondamental. C’est pendant notre sommeil que nous récupérons de notre fatigue physique ou nerveuse. C’est aussi en dormant que la sécrétion de certaines hormones comme l’hormone de croissance s’effectue. La réparation des tissus et cellules usées a également lieu à ce moment là. C’est précisément durant le sommeil profond qu’est secrétée la prolactine. Le docteur Delormas dans son article intitulé le sommeil et les rythmes de l’enfant, passe entre autres en revue les fonctions qui s’accomplissent pendant le sommeil. Parmi celles-ci, se trouvent la mise en place et le développement des circuits nerveux durant la vie fœtale et les premiers mois de vie. Le sommeil favorise aussi la mémorisation et la résolution des tensions accumulées tout au long de la journée.

Je vous mets également en ligne le lien (en anglais) d’une étude de l’Académie Américaine de Médecine du Sommeil qui met en relation les mauvaises habitudes de sommeil et la baisse de la moyenne scolaire des jeunes du collège et du lycée. Cette étude met également en évidence des différences entre les étudiants « du soir » et ceux « du matin » et démontre que les étudiants considérés comme étant du soir et qui par conséquent dormaient tard, amélioraient leurs performances scolaires en suivant des recommandations précises en matière d’hygiène de vie et de sommeil*. 

Stress, épuisement, cynisme, fatigue excessive et humeur dépressive sont également corrélés aux mauvaises habitudes de sommeil.

Voici en français québécois une traduction et adaptation du texte original intitulé « Mieux dormir pour mieux réussir » par Anne-Isabelle Tremblay :


Bien dormir, rend donc définitivement plus efficace ! Une recherche menée de manière scientifique vient prouver ce que tous les parents ont observé de manière empirique : l’incidence du sommeil sur notre comportement en général et sur celui de l’enfant en particulier ! 

Ce n’est pas le sujet ici, mais je constate tout de même que, mes heures de sommeil d’avant minuit sont indescriptiblement plus réparatrices que celles d’après ! Cadeau de la maison. Et vous ?

Adultes, nous savons si nous sommes du matin ou du soir. Quelque soit ce chronotype, prendre le train du sommeil au bon moment pour nous est toujours plus réparateur que de longues heures au « mauvais » moment. Ce qui est formidable avec le sommeil, c’est qu’en dehors de toute pathologie, il s’agit pour l’adulte d’un comportement volontaire que nous pouvons donc changer avec quelques aménagements. Je le sais d’autant plus que je suis une « couche tard » mariée à un « couche tôt ». J’ai par conséquent appris à me coucher tôt. Je ne le fais pas souvent (j’écris la nuit), mais je sais le faire et j’apprécie à chaque fois dans la mesure où me coucher tôt me permet de me lever encore plus tôt. Oui, je suis un peu bizarre, mais je jubile littéralement à l’idée que la majorité des gens dort pendant que j’écris. A chacun son truc. 

Même en quatre parties, je n’aurais pas tout dit sur le sommeil tellement il est essentiel. Mais pour ne pas vous lasser, je m’oblige à m’arrêter et terminerai ma série d’articles par une discussion sur des pratiques d’endormissement. Les raisons pour lesquelles je trouve quelques unes de ces pratiques inappropriées voir dommageables compte-tenu des connaissances actuelles. Il sera également question de quelques unes de mes convictions et suggestions sur le sommeil de nos bébés.

Vous avez vu que j’ai fait plus court que d’habitude… pour vous laisser le temps de cliquer sur les liens !

Je vous laisse donc une Bibliographie plus fournie pour que vous approfondissiez si vous le souhaitez en fonction de vos préoccupations.

Tous vos commentaires sur le sommeil sont les bienvenus, même s’ils ne sont pas en rapport avec cet article en particulier. Ils peuvent inspirer, donner des idées à d’autres parents ou les mettre en garde selon !

Je vous remercie pour eux.

Mj

Bibliographie :





-          Bouche-Florin Laëtitia et al., « Dormir ici et ailleurs. Approche transculturelle du sommeil du nourrisson et de ses troubles » , Spirale, 2005/2 no 34, p. 151-164. DOI : 10.3917/spi.034.0151

-          Candilis Drina , « NTM ? Nychtémère ! » Observer un nouveau-né qui dort, Spirale, 2007/4 n° 44, p. 105-116. DOI : 10.3917/spi.044.0105

 Challamel Marie-Josèphe , « Neurophysiologie du sommeil de l'enfant : de la période foetale aux premières années de la vie » ,Spirale, 2005/2 no 34, p. 19-28. DOI : 10.3917/spi.034.0019

-       De Leersnyder Hélène , « Les difficultés de sommeil du bébé de la naissance à l'âge de 6 mois » ,Spirale, 2005/2 no 34, p. 165-170. DOI : 10.3917/spi.034.0165

-          De Leersnyder Hélène , « Rythmes fondamentaux du bébé » , Spirale, 2007/4 n° 44, p. 33-38. DOI : 10.3917/spi.044.0033

-    Françoise Delormas, médecin directeur de Prosom, Grenoble & Anne Lestournelle, Adessi, responsable du programme Prosom

-          Giordanella J.P., « Rapport sur le thème du sommeil à M. Xavier Bertrand, ministère de la Santé et des Solidarités, décembre 2006, accès 2 mars 2010, http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/064000899/0000.pdf.

-   Israël Jacky , « Les présentations... » , Spirale, 2005/2 no 34, p. 15-18. DOI : 10.3917/spi.034.0015

  Moszkowski Ninon , « Dormir seul ensemble » Le sommeil en collectivité pour les jeunes enfants, La lettre de l'enfance et de l'adolescence, 2008/1 n° 71, p. 81-86. DOI : 10.3917/lett.071.0081

-        Thompson D.A. et al., « The association between television viewing and irregular sleep schedules among children less than 3 years of age”, Pediatrics, n° 116, 2005, p. 851 et passim.

-          Marie-Josephe Challamel Pédiatre, Inserm U480, service de consultation-exploration neurologique, Unité de sommeil, Centre Hospitalier Lyon Sud Prosom & Jacqueline Louis, ingénieur de recherche à l’Inserm U480, Prosom

   Pinelli Anna , « Portage et sommeil » ,Spirale, 2008/2 n° 46, p. 29-33. DOI : 10.3917/spi.046.0029



*Ma traduction